Patria Mea, c’est une réponse :

À ceux qui veulent faire de la France un souvenir flou.

À ceux qui l’insultent tout en vivant d’elle.

À ceux qui croient que la fierté nationale est une faute à corriger.

Nous avons choisi de ne plus nous taire.

De transformer le vêtement en étendard.

De faire de chaque création un acte de résistance tranquille — mais ferme.

Patria Mea, c’est un refus. Celui de disparaître en silence.

C’est un rappel : la France ne s’excuse pas d’exister — elle est une terre, un peuple, une histoire.



Notre philosophie

Patria Mea est née d’un constat simple : Certains apprennent aux Français à avoir honte de leur propre pays.

Le french bashing, qu’il vienne de l’étranger — souvent du monde anglo-saxon — ou de chez nous, alimente sans relâche le dénigrement de notre histoire, de notre culture, de notre identité nationale.

On nous répète Azincourt, on oublie Patay.

On moque nos défaites, on tait nos victoires.

Mais les faits sont là : la France est l’un des pays les plus victorieux de l’histoire, et l’un des plus brillants dans les arts, les sciences, le génie militaire et la civilisation.

Notre mission est simple : redonner aux Français la fierté d’être ce qu’ils sont.

Et leur transmettre la connaissance de leur propre héritage.

Nous parlerons de nos batailles, bien sûr.

Mais aussi de notre génie civilisateur, de nos régions françaises, de nos cultures locales et de nos traditions.

De la Gascogne à la Bretagne, de la Corse aux Antilles, de l’Alsace à la Réunion, sans oublier nos racines ultramarines et nos liens avec la francophonie mondiale.

Patria Mea n’est pas une nostalgie.

C’est un projet vivant, tourné vers la transmission,

le respect des autres cultures… mais jamais au prix de l’effacement de la nôtre.



Notre emblème : la Fleur de Lys

La Fleur de Lys, symbole historique de la France.

Qu’on soit royaliste ou non, la Fleur de Lys reste l’un des plus puissants symboles de l’histoire de France.

Elle incarne notre identité à travers les siècles et s’imprime dans nos villes, nos armoiries, nos monuments.

On la retrouve au Canada, en Louisiane, sur les blasons d’Europe, et même au cœur de la couronne d’Angleterre : un rappel éclatant de l’influence de la France à travers le monde.

La Croix, reflet des racines chrétiennes de la France.

Parce que la France est la fille aînée de l’Église, et que son histoire est profondément marquée par le christianisme.

Qu’on soit croyant ou non, les valeurs chrétiennes ont nourri notre droit, notre culture, nos paysages, notre civilisation.

Il ne s’agit pas obligatoirement de croire, mais de savoir d’où l’on vient.

CDXCVIII — 498 : le baptême de Clovis.

Le baptême de Clovis, pour beaucoup, c’est notre date de naissance.

Mais la France était là bien avant.

En gestation, en Gaule — gauloise ou gallo-romaine.

Allons de l’avant en sachant d’où nous venons.

 
 

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